Patience, diplomatie

Patience arriva, l'air déçue au Palais des Tunariens.

Elle frappa aux grandes portes attendant qu'un garde lui ouvre.

Patience :
" Bonjour, je souaiterai parler à l'un de vos diplomates "

Garde :
"Bien suivez moi."

Le garde emmena Patience dans un bureau, ou un membre important siégeait

"Que puis-je pour vous ?"

" Je viens ici, car la Confrérie a passé l'éponge sur de nombreuses aggressions venant de vos clans,
Et il y a peu, encore deux nouvelles aggressions ont eu lieu, sur nos membres.
Venant d'un chef et d'un sous-chef de l'un de vos clans, se disant bon..


Patience observait l'homme en face d'elle, pour voir l'expression sur son visage.

"Tout cela pour vous dire, que la Confrérie en a marre de subir des assaults répétés...
puisques certains d'entre vous ont perdues la tête et frappent à tout va.
Il est de notre devoir de les remettre sur le droit chemin."

Patience semblait vouloir dire quelque chose mais elle avait du mal..

" Bref, je tenais juste a vous prevenir de ne pas vous étonner si l'on frappe certains de vos membres.
Un chef doit montrer l'exemple et les soldats suivent, c'est pourquoi l'un de vos clans a été considéré comme ennemis de la Confrérie.

Cela me désole d'en arriver là, mais en ces temps de troubles nous ne pouvons plus laisser passer ces choses là ! "

Patience attendit quelques instant une quelconque réaction..

C'est encore Freeware qui s'y colle
Le énième fois qu'il revenait de nuit dans l'ambassade pour défendre les intérêts et l'honneur sali des Tunariens.

Le garde lui fit un signe de la main, un salut informel, le prêtre n'était pas à cheval sur le protocole, cela semblait même le gêner.

Il entra dans le bureau où Patience l'attendait.

Bonjour Patience, grande prêtresse de Geisha, l'administrateur de Tunaria m'a prévenu de ta présence.

Je ne m'attendais pas à te voir ici, tu avais disparu depuis quelques temps, sans doute afin de te ressourcer...

Je crois comprendre que si tu viens nous rendre visite, ce n'est pas simplement par simple politesse mais tu seras toujours la bienvenue chez nous. Il se trouve que tu n'es pas la première personne à manifester ton mécontentement.

Officiellement, l'Eternelle Confrérie ne fait pas encore partie de nos alliés, non pas que je cherche à excuser ou minimiser ces actes agressifs mais ce peut être un début d'explication.

Cependant, je ne vois pas pourquoi certains d'entre nous s'en prennent à tes compagnons. Je souhaiterais leur rappeler que tout comme vous nous défendons le Bien. Aussi, je te demanderai de bien vouloir m'indiquer les noms de ces brebis égarées.

En attendant, je te propose de te restaurer et de passer la nuit à l'auberge avant de reprendre ton chemin.

Ils se levèrent et sortirent de l'ambassade. Freeware indiqua à Patience le chemin de l'auberge.

Dis à Hiemain, l'aubergiste, que tu viens de ma part, tu seras bien reçue.